LES STATUES INTÉRIEURES
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(2) Saint Joseph |
(3) Sacré coeur |
(4) Ste Bernadette |
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(7) Piéta |
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(9) St Antoine |
(10) La Trinité |
(11) St Jacques |
(12) Ste Jeanne d'arc |
Les Statues sur le retable central
Le maître autel et le superbe retable qui le domine sont du XVIIème siècle. Le tableau central « descente de croix » attribué à Simon Vouet, est entouré de Saint Martin (avec sa mitre) (à gauche du tableau) patron de la paroisse et à sa droite le moine Saint Porcien
(à droite du tableau), patron de la cité. Saint Sébastien
(à droite du retable) et Saint Roch
(à droite du retable), qui avaient également des confréries, voisinent avec eux au fronton, et de nombreux Saints. Il est surplombé par un Christ portant le globe terrestre (au-dessus du tableau).
A l’intérieur de l’église, hors retables
Nous découvrons des réalisations anciennes (Vierge à la figue, Trinité, Saint Jacques) auxquelles s’ajoutent des réalisations contemporaines du XXème siècle, de Lambert-Rucki (Christ en croix, Sainte Thérèse, Saint Antoine), et une Piéta de Léon Drivier.
Une trinité XVIème siècle (10), aussi en pierre, qui avait, parait-il, subi une transformation curieuse, on l’aurait ensuite rendue à son état premier. L’usage ancien, celui du Moyen Age et même d’âges plus récents, coloriait les statues, mais la polychromie est récente. Cette statue a subi des détériorations, il est assez difficile de l’interpréter.
Saint Jacques XVIème siècle (11), en bois massif, œuvre de valeur, dédiée sans doute à la confrérie du même nom, évoque le temps des grands pèlerinages à Saint-Jacques de Compostelle, dont la rue Croix-Saint-Jacques et l’édicule en plein champ garde le souvenir.
Nous traversons la nef centrale. Au passage, nous levons les yeux vers le crucifix de Lambert-Rucki (XXème siècle) sur le pilier face à la chair.
Nous nous rendons dans la nef à gauche de la nef centrale. Nous pénétrons dans le jardin de Notre Dame. Il s’étale entre deux statues murales : près de l’autel, statue en pierre : Vierge à la Figue (6) XVIIème siècle. L’enfant Jésus, d’une main puérile, semble caresser le menton de sa mère couronnée.
A l’autre extrémité de la nef est placée une Piéta (7), pétrifiée de douleur. C’est un plâtre original de Léon Drivier (1951). En 1918, il réalisa le buste officiel de la France victorieuse.
Nous redescendons au bas de cette nef. Saint Antoine (9) fut sculptée par Lambert-Rucki en 1951. Cette statue est taillée dans un tronc d’arbre et sobrement polychromée ; elle nous présente le Saint dans une étroite niche sur les parois de laquelle sont gravées des scènes de vie.
Il réalisa egalement, mais en bronze martelé, la statue (8) Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus (1951). Cette seconde statue est en bronze martelé. Portant son crucifix sur la poitrine, la Sainte nous parait dans une simplicité monacale, droite, sans fioritures. Œuvre émouvante par le recueillement qui s’en dégage, elle force aussi l’admiration par la perfection de sa réalisation technique.
Pas de documentation (à ce jour)
Retable côté Sud Retable côté Nord
(1) Vierge de Fatima XXè Atelier de Fatima (4) Sainte Bernadette de Paul Scordia
(2) Saint Joseph (5) Notre dame de Lourdes de Paul Scordia
(3) Sacré Coeur (12) Sainte Jeanne d’Arc (la guerrière)

